Le SIDA est un mal nécessaire

 

Selon l’OMS, le SIDA est l’une des plus terribles maladies de cette décennie, mais si on l’étudie bien, on se rend compte que le SIDA est une maladie nécessaire pour préserver l’équilibre démographie. Le SIDA est surtout présent en Afrique, Asie et en Amérique Latine. La particularité de ces pays est qu’ils possèdent une démographie exponentielle alors que leur PIB et leurs ressources sont insuffisantes pour nourrir la population. De ce fait, des maladies comme le SIDA réduisent le nombre de personnes et même si on peut trouver cela injuste, c’est une manière pour la nature de faire le ménage.

Le problème le plus important pour la planète est la surpopulation et sans des maladies comme le SIDA ou les catastrophes naturelles, on s’entretuerait rapidement pour un morceau de pain. La Nature fait sa sélection en éliminant les faibles et les parasites qui consomment plus qu’ils n’en produisent. L’Afrique est ravagée par la guerre et la famine, l’Asie par la corruption et par ses flux migratoires de plus en plus importants. Pourquoi nous avons eu un problème de surpopulation à partir du 21e siècle ? La réponse tient au paradoxe de la médecine qui a permis d’éradiquer de nombreuses maladies et à l’augmentation de l’espérance de vie.

Autrefois, les maladies et les guerres réduisaient naturellement la population mondiale et tout le monde pouvait se nourrir à sa faim. Mais cette époque est révolue et la Nature doit trouver des moyens plus radicaux de supprimer le superflu. La particularité du SIDA est qu’il est impossible de trouver un vaccin même après 20 ans de recherche ce qui prouve encore une fois qu’elle a été spécialement conçue pour supprimer un problème majeur de l’écosystème, à savoir, l’être humain et sa propension à se multiplier sans aucun contrôle.

 

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Alzheimer, le dévoreur de l’esprit

 

 

L'Alzheimer est une maladie de type neurodégénérative ce qui signifie qu'on perd progressivement des cellules du cerveau affectant nos capacités motrices et cognitives. On estime que 38 millions de personnes en souffrent dans le monde et ce chiffre augmente de 18 % chaque année. Elle se manifeste principalement chez les personnes qui sont âgées de plus de 55 ans s'il existe des facteurs génétiques. Une personne qui a un membre de sa famille qui souffre de l'Alzheimer possède 35 % de chance de développer la maladie. Mais les principales causes de l'Alzheimer sont environnementales, ainsi une mauvaise hygiène de vie, le tabac et le manque d'activité intellectuelle augmente considérablement les risques de l'Alzheimer.

 

On estime que 145 milliards de dollars sont nécessaires pour traiter les patients de l'Alzheimer rien qu'aux Etats-Unis et en France, ce chiffre atteint des sommets vertigineux et ce, malgré une prise en charge correcte de la maladie. Cependant, la France est en retard par rapport aux normes européennes et même si Nicolas Sarkozy a décrété que l'Alzheimer est une priorité de la santé publique, on se rend compte que rien n'a été fait jusqu'à présent.

Les symptômes de l'Alzheimer sont une perte de la mémoire, l'amaigrissement, une agressivité chronique et la perte des fonctions motrices. Ces dernières indiques que le patient est dans un état avancé de l'Alzheimer et qu'il lui faut une assistance médicale ou une prise en charge dans un institut spécialisé. L'une des particularités de l'Alzheimer est qu'elle touche la mémoire volatile, c'est à dire que la personne oublie ce qu'elle a fait durant les 5 dernières minutes, mais elle se souvient parfaitement de son enfance. Par la suite, c'est la totalité de la mémoire qui est affectée et la personne ne peut plus rien faire par ses propres moyens. Pire encore, elle peut représenter un danger pour elle-même et pour les autres, si elle utilise des outils dangereux tels qu'une plaque chauffante, qu'elle se met à conduire et qu'elle prend un simple couteau.

Il n'y a aucun traitement contre l'Alzheimer et les patients ont une espérance de vie entre 3 et 8 ans selon le diagnostic de la maladie. Mais on peut prévenir de l'Alzheimer avec une bonne hygiène de vie et un exercice de ses facultés intellectuelles. Les personnes qui font régulièrement ce type d'exercice diminuent considérablement les risques de l'Alzheimer. En bref, ils doivent faire fonctionner leur cerveau en permanence.

 

La perte de son esprit morceau par morceau

 

 

Dès qu'on prononce le mot Alzheimer, tout le monde est terrifié parce qu'on connait au moins une personne dans sa famille ou parmi ses proches qui en souffrent. Et c'est l'un des pires aspects de l'Alzheimer, car elle détruit non seulement l'esprit de la personne, mais elle affecte toute la famille. La famille est le principal soutien du patient atteint de l'Alzheimer et on estime que 38 % des personnes quittent leur travail pour se consacrer uniquement au patient. Sa surveillance doit être draconienne, car la moindre action anodine peut provoquer des accidents mortels.

Un autre aspect de l'Alzheimer est le refus des soins et de la prise en charge par le patient. Ce dernier sait qu'il perd son esprit, mais il ne veut pas perdre son autonomie. Les tentatives d'aide sont considérées comme de la pitié et cela augmente son agressivité ce qui aggrave la maladie. La personne ne supporte pas aussi de perdre sa mémoire petit à petit et il fait tout pour faire croire qu'il est une personne normale malgré les supplications de ses proches.

L'Alzheimer provoque les pires scènes chez les personnes brillantes qui ont bâties toute leur vie sur leur intelligence. C'est intolérable pour eux que la partie qui les rendait exceptionnels s'en aille comme des feuilles mortes qui tomberaient de l'arbre. Sur 150 personnes souffrant d'Alzheimer, 79 ont envisagés le suicide ou l'euthanasie, car selon eux, la vie n'a aucune importance si on perd la capacité intellectuelle de l'apprécier à sa juste valeur. Même chez les personnes saines, la moindre allusion à l'Alzheimer provoque une peur terrible et le mot suicide vient directement dans la conversation. Le fait que l'esprit est la plus grande partie de ce qui fait de nous des êtres humains, aussi comment peut-on supporter de la perdre minute après minute.

La médecine a fait de l'Alzheimer une de ses priorités, mais pour le moment, on n'a que des molécules qui retardent légèrement la progression de la maladie. Un vaccin est également envisagé, mais c'est tellement hypothétique qu'il sera effectif quand les poules auront des dents !

Plutôt mourir que l'Alzheimer !

 

Je suis encore très jeune, mais je m'intéresse beaucoup à cette maladie que je considère comme un fléau plus terrible que la Peste noire au Moyen Age. Les statistiques montrent qu'une personne a 35 % de chance de développer l'Alzheimer si un membre de sa famille en a souffert. Dans la mienne, je connais deux parents très proches qui sont morts de l'Alzheimer, donc je peux dire que je suis mal barré. Par ailleurs, mon hygiène de vie n'est pas ce qu'on pourrait appeler un mode de vie équilibré donc, les probabilités sont importantes pour que je souffre de cette maladie un jour ou l'autre. Sans fausse modestie, je peux dire que je suis quelqu'un qui n'est pas un idiot. Mon intelligence m'a permis de sortir de beaucoup de situation imprévues et je cultive la soif de connaissance à un degré imaginable. J'ai lu des milliers de livres et je sais que j'ai encore beaucoup de choses à apprendre.

Dire qu'un jour, tout ce que j'ai appris et ce qui fait de moi un être humain pourrait partir en fumée est intolérable. Le suicide est la meilleure option pour l'Alzheimer même si tout le monde ne sera pas d'accord. Une simple balle de revolver m'évitera de griller mon cerveau à petit feu pendant de nombreuses années. Elle épargnera des sacrifices inutiles à ma famille et mes amis. La déchéance d'un être cher est impossible à regarder et leurs visages reviennent nous hanter pendant de nombreuses années. J'ai accompagné un proche durant toute sa maladie d'Alzheimer et je n'oublierais jamais son regard de supplication pendant des rares moments de lucidité qui me disait qu’il voulait en finir une bonne fois pour toutes.

 

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La solitude, le fléau des temps modernes

 

La solitude a été décrétée comme l’une des priorités en 2011 dans de nombreux pays, incluant la France. Le fait est que le phénomène n’est plus un truc péjoratif ou qui désigne une minorité de la population. Dans les métropoles, la solitude touche 48 % de la population et ce chiffre monte à 74 % à Paris. Il est intéressant de constater qu’on assiste à l’émergence d’un monde hyper connecté, mais le paradoxe est que cela augmente l’isolation sociale.

De nos jours, on fait tout dans le monde virtuel, on communique par mail ou par Facebook. On envoie des cadeaux virtuels, on souhaite des joyeux anniversaires en ligne et on perd la notion même d’une relation humaine. Pire encore, les contacts physiques sont limités au maximum pour éviter d’être accusé d’harcèlement sexuel. La solitude est la principale cause de trois phobies, l’agoraphobie, la peur de se lier et la peur du regard des autres. On est tellement immergé dans un monde virtuel qu’on reste chez soi 7/7 à raison de 12 heures par jour.

Il y a quelques années, des scientifiques ont fait une expérience sur un enfant. Ils l’ont complètement isolé en évitant de lui parler ou de le toucher. Le résultat est que l’enfant a failli mourir malgré le fait qu’on le nourrissait correctement. Le fait est que la relation physique fait partie de la nature humaine et elle affecte notre santé. Notre société bannit tellement les contacts qu’on s’étonne de voir des personnes qui expriment leur affection dans la rue. Les personnes seules sont tellement renfermées sur elles-mêmes qu’elle tentent de se suicider. Dans l’Iowa, une personne appelait les renseignements une fois par semaine pour entendre juste la voix de quelqu’un. Un jour, la personne aux renseignements a été remplacé par une messagerie vocale et la personne raconte qu’elle s’est effondrée en larme.

La principale question : Comment en est-on arrivé là et quelle est la solution ?

 

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Les listes des phobies (religion, sexe et race)

 

 

Notre liste des phobies continue avec cette troisième partie qui se concentre sur les phobies non-conventionnelles. Ainsi, nous avons les phobies qui n'ont pas d'origine psychologique et celles qui sont liées à la race et à la religion.

 

 

Les phobies avec une origine qui n'est pas psychologique

 

• Hydrophobie - Peur morbide de l'eau. Depuis longtemps, cette phobie était considéré comme l'un des signes de la maladie de la rage. La personne souffre d'une horreur indescriptible à la vue de l'eau indépendamment de qualité ou de sa quantité.  Peut s'associer à la phobie de la noyade et des poissons.
• Osmophobie – Hypersensibilité aux odeurs. La personne ressentira toujours un malaise dans des environnements qui ne lui sont pas familiers. Il se plaindra d'odeurs étranges et fortes à cause de la particularité de son odorat. L'un des signes distinctifs de cette phobie a une sainte horreur du parfum ce qui peut créer un désordre social, notamment dans les relations amoureuses.
• Phonophobie – Hypersensibilité au son. Aussi appelée la phobie du bruit, cette peur est provoquée par un traumatisme qui a étiqueté le bruit comme une chose négative. Par exemple, un enfant qui a assisté fréquemment à des disputes parentales est prédisposé pour cette phobie. Son sommeil sera perturbée par le moindre son, car il lui rappellera les épisodes douloureux de son enfance.
• Photophobie – Hypersensibilité à la lumière. La personne ne peut pas supporter les lumières artificielles ou naturelles. En évitant constamment le soleil, sa peau perd de sa résistance et le teint devient blanchâtre. Cette phobie est difficile à diagnostiquer, car l'hypersensibilité à la lumière peut être aussi un symptôme d'un désordre dermatologique.

 

Les phobies liées à la supertition

Les phobies liés aux superstitions sont méconnues et on les traite d'une façon humoristique, mais on doit comprendre que c'est la nature de la phobie qui compte et non l'objet de la peur.

• Hexakosioihexekontahexaphobie - Peur du nombre 66626. Apparenté au chiffre du diable et de l'antéchrist. Cette phobie est très présent chez les chrétiens qui sont très pratiquants. On la retrouve également chez l'enfant qui a été élevé dans une famille très religieuse.
• Paraskevidékatriaphobie - Peur du vendredi 13. Ne pas confondre avec le film Vendredi 13, car cette phobie est plutôt basé sur une légende urbaine sur la dangerosité du vendredi 13. Très présente aux Etats-Unis, cette phobie peut dégénérer en une psychose collective comme en 1992 lorsqu'une petite communauté dans l'Arizona a failli lyncher une personne qui était considéré comme une sorcière qui était apparue le vendredi 13. Les faits ont révélés que c'est simplement une voyageuse qui était arrivé ce jour précis dans la ville.
• Tétraphobie - Peur du chiffre 4. Dans certains cultures populaires, le chiffre 4 représente le mal puisque c'est sa signification dans la numérologie. Le 1 représente Dieu, le 2 représente la femme et l'imperfection, et le 3 représente l'homme qui est unique (le 3 étant un nombre premier). Le 4 qui est un multiple de 2 représente le diable sous une forme féminine, mais également la femme proprement dite qui attire l'homme dans les pièges du sexe et du péché.
• Triskaïdekaphobie - Peur du nombre 13. Une variante de la phobie du vendredi 13, mais elle est très ancrée dans notre société. Essayez de trouver le 13e étage dans les hôtels de luxe...

 

Les phobies liées à la race, à la religion et aux pratiques sexuelles

Pendant longtemps, on a refusé de parler de ce type de phobie, car on les considérait comme des actes illégaux, notamment l'antisémitisme qu'on confondait avec la judéophobie. Cependant, on doit préciser que la phobie religieuse est une manifestation défensive de sa propre foi. Un musulman souffrira de judéophobie parce qu'il a été conditionné dans ce sens et la même chose est valable pour le juif qui souffrira d'islamophobie.

 

• Biphobie – Peur des bisexuelles. Présente notamment chez les chrétiens conservateurs qui considèrent que la bisexualité est une aberration de la nature et qu'ils doivent pourchassés comme des suppôts du Diable (Citation tirée d'un journal de San Francisco de 1913).
• Christiannophobie - Peur des chrétiens. Présente chez les musulmans et les athées. Ces derniers estimant que les croyances chrétiennes mettent en danger leur pensée qui est basée sur les principes rationnelles. Chez certains musulmans, la christianophobie est lié à la croyance du fil  de Dieu qu'ils considère comme du paganisme ou de l'idolâtrie.
• Éphébiphobie – Peur de la jeunesse. Présente chez les seniors qui la considèrent comme un danger. Cette peur est souvent présente dans le marché de l'employé où on préfère les jeunes cadres à des personnes plus expérimentés. De plus, cette peur est également entretenue par la croyance selon laquelle un jeune agira sans réfléchir aux conséquences de ses actes. On remarque les gènes de cette phobie lorsque la jeunesse s'immisce dans une communauté de personnes âgées.
• Gérontophobie – Peur des personnes âgées. Le contraire du précédent, mais également un signe du deni de la vieillesse. Le jeune éprouvera un sentiment qui est un mélange de culpabilité et de dégouts face aux conditions physiques et psychologiques de la vieillesse. D'un coté, il en a pitié et de l'autre, il ne veut pas en entendre parler. Souvent liée à tort au syndrome de Peter Pan qui indique des personnes qui refusent de vieillir et qui utilisent tous les moyens (médicamenteux et chirurgicaux) pour donner une impression de jeunesse.
• Gynéphobie - Peur des femmes. Présente chez les personnes timides. Cette peur peut se transformer en une agressivité injustifiée envers les femmes. Un comportement machiste et rugueux démontre souvent une des manifestations de la femme. Le changement de sexe peut être déclenchée par cette phobie et dans ce cas, on dit que c'est une peur interne. La personne éprouve du dégout pour le sexe qu'elle représente ce qui amène la décision radicale du changement de sexe.
• Hétérophobie – Peur des hétérosexuels. Fréquente chez les homosexuels qui y voient comme un conditionnement pour qu'ils soient normales. Cette peur est entretenue par les fausses images sur l'homosexualité. De ce fait, ces groupes ont tendance à se renfermer sur eux même en évitant de parler de leur orientation sexuelle.
• Homophobie – Peur de l'homosexualité ou des homosexuels. Considéré comme une chose illégale dans de nombreux pays, l'homophobie se manifeste par une incompréhension totale vis à vis de cette condition sexuelle. C'est notamment le cas chez les personnes qui découvrent des homosexuels parmi leurs connaissances.
• Islamophobie - Peur des musulmans. Syndrome du 11 septembre. Comme l'homophobie, cette peur est liée à l'incompréhension face à une religion avec des pratiques totalement différentes des dogmes qui sont dans l'environnement de la personne. En Hollande, on confond souvent l'Islam et Al-Qu'Aïda puisque les autorités n'ont pas faire le moindre effort pour dissiper le malentendu. Cette phobie est intimement liée au terrorisme et au fondamentalisme musulman.
• Judéophobie – Peur des juifs. Peur du contrôle mondiale par cette race qui a été énoncé ouvertement par Adolph Hitler. Les personnes souffrant de cette phobies sont également des passionnés des théories de conspiration selon lesquelles les juifs domineraient le monde. La phobie est telle est qu'il lient des évènements totalement indépendants pour créer un message cohérent qui va dans leur sens. Cette phobie se déclenche aussi par l'incompréhension des rites strictes du judaïsme.
• Lesbophobie – Peur des lesbiennes. Similaire à l'homophobie.
• Pédophobie – Peur des enfants. Peur liée à la perte de la liberté et aux obligations familiales. L'enfant représente une chaine qui lie définitivement la personne à une certaine idée de la condition sociale qui implique qu'elle doit renoncer  à de nombreux plaisirs.
• Psychophobie – Peur des maladies mentales. Facteur déclencheur de la paranoïa. Il est intéressant de remarquer que la personne souffre d'une telle tension face à cette phobie qu'elle développe de vrais troubles pathologiques. Les personnes les plus atteintes demandent souvent un internement volontaire dans un asile psychiatrique.
• Technophobie - Rejet du progrès scientifique et technologique. Peur liée au mouvement Hippie et à la perte de contrôle de l'humain face à la montée des machines. La série TV Terminator est un parfait exemple de cette phobie qui peut devenir collective. Dans cette série, l'intelligence artificielle est considéré comme une manifestation diabolique puisque ses concepteurs l'appelle sous le nom de Daemon (Démon) qui indique simplement un processus en arrière-plan dans le système d'exploitation. Un manifeste qui s'appelle L'avancement par la destruction technologique qui a été écrit par un étudiant de l'université de Berkeley stipule que l'humanité atteindra un tel degré d'avancement technologique qu'elle s'effondrera sous son propre poids telle une gigantesque étoile qui se transforme en un trou noir.
• Transphobie – Peur des personnes transidentitaires. Liée à la bisexualité. Mais assez méconnue dans l'ensemble puisque les personnes n'arrivent pas à décrire précisément ses symptômes.
• Xénophobie - Peur générale des étrangers. Très présente lors des échecs d'un gouvernement dans son économie. La xénophobie est la seule phobie qui peut se transformer en psychose collective en l'espace de quelques heures. Ainsi, des musulmans ont été tués quelques heures après les attentats du 11 septembre. A chaque fois, que la population d'un pays se sent vulnérable, elle utilise la xénophobie pour trouver un bouc-émissaire. A cause de ses effets dévastateurs, cette phobie est un crime dans de nombreux pays.

 

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La liste des phobies liées aux animaux

Notre liste de phobies continue avec cette seconde partie qui traitement des phobies spécialisés dans un certain domaine; notamment la phobie des animaux.

 

• Ailurophobie - Peur des chats. Peur liée à la superstition de ces animaux dans certains pays. En Asie, le chat est un signe de malheur, notamment les chats noirs. En Extrême Orient, les chats sont considérés comme appartenant au royaume des morts.
• Anthelmophobie - Peur des vers (dite aussi vermiphobie). Peur sur les vers intestinaux. La personne tend à consommer systématique des vermifuges. L'angoisse est tellement grave est qu'il refuse de toucher une alimentation qui pourrait contenir des vers (légumes et fruits frais).
• Apiphobie - Peur des abeilles. Cette peur concerne tous les insectes qui possèdent un dard (frelon, guêpe), mais cela peut toucher aussi au scorpion.
• Arachnophobie - Peur des araignées. Considéré depuis longtemps comme une peur normale, elle a été classée progressivement par les phobies à cause des effets négatifs sur l'environnement de la personne. L'angoisse est tellement forte que la personne est pris de panique incontrôlée comme dans le cas de la claustrophobie. Cette peur est alimenté par l'image de la société sur les araignées qui les considèrent comme des insectes dangereux même si elles contribuent à l'équilibre de l'écosystème en réduisant la population des insectes nuisibles.
• Chiroptophobie - Peur des chauves-souris. Peur lié au vampire et au syndrome de Dracula. Par définition, cette peur provoque également la phobie des cavernes ou tout autre endroit qui pourrait abriter des chauves-souris.
• Cuniculophobie - Peur des lapins. Dans un conte Mésopotamien, le lapin est considéré comme un présage de la mort à cause de la particularité de ses griffes. En effet, certaines espèces n'en possèdent pas et donc, cela a lancé la rumeur selon c'était des animaux anormaux.
• Cynophobie - Peur des chiens. Cette peur est liée à la contamination de la rage. De plus, le chien a tendance à être agressif quand il sent que la personne a peur de lui et donc, cela contribue à alimenter cette phobie. Les personnes atteintes de cette phobie ne peuvent pas pénétrer dans une maison qui abrite un chien. De plus, l'enfermement du chien dans sa niche ne suffit pas à apaiser la peur, car la personne sent toujours sa présence. Cette phobie peut également apparaitre lorsqu'on a été mordu pendant l'enfance.
• Entomophobie - Peur des insectes. Cafard, mouche, ver de terre, abeille, chenilles. La panique est totalement à la vue du moindre insecte. Peut favoriser l'apparition d'une légère agoraphobie, car la personne ne peut pas supporter les espaces verts.
  Herpétophobie - Peur des reptiles ou amphibiens. Notamment des serpents et des lézards. En 1997, un touriste est mort d'une crise cardiaque dans les iles Galápagos lorsqu'il a vu un iguane marin géant. C'est pourquoi, les autorités demandent aux touristes s'ils souffrent de cette phobie quand ils débarquent sur l'île.
• Ichthyophobie – Peur des poissons. La personne pense que les poissons lui feront du mal. Cette peur est liée au manque de contrôle qu'on subit dans un milieu marin. Pourtant, les études s'accordent à dire que cette phobie pourrait être liée à la peur de la mer.
• Musophobie – Peur des souris ou rats. A cause de la peste bubonique et de l'aspect repoussant de ces animaux. La répugnance chez une personne atteinte de cette phobie est totale et la plupart déménage s'ils en voient dans leur habitation.
• Myrmécophobie - Peur des fourmis. C'est surtout la masse des fourmis qui provoquent cette peur même si la piqure peut jouer un rôle de déclencheur.
• Ophiophobie - Peur des serpents. Liée à la peur des reptiles. La peur des serpents a mis du temps pour être considérée comme une phobie. De même que les araignées, c'est son image qui a contribué à créer une aversion pour le serpent. L'origine religieuse n'est pas écarter puisque le serpent est l'une des manifestations du Mal.
• Ornitophobie - Peur des oiseaux. Cette phobie est très méconnues, mais on estime qu'elle est lié aux attaques de ces animaux même si toutes les attaques d'oiseaux sont accidentelles (collision ou perturbation de leur environnement). On estime aussi que c'est la seule phobie qui a été crée artificiellement par Les oiseaux, le film d'Alfred Hitchcock dans lequel les oiseaux attaquent délibérément les humains.
• Squalophobie - Peur des requins. Très fréquente et on l'appelle également le syndrome des Dents de la mer. L'angoisse prend une telle ampleur que la personne a peur de nager alors qu'elle a pied.
• Zoophobie - Peur générale des animaux. Assez handicapante, car cette peur concerne les animaux sauvages et domestiques. On peut détecter cette phobie face au malaise de la personne quand il regarde des animaux dans un magazine ou un documentaire télévisé.

 

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