Ci-dessous, je propose 11 images du manga Naruto Shipuden avec des photos des différents personnages. Franchement, je pense que Naruto Shipuden est le meilleur manga animé que j’ai jamais vu. Un jour, j’ai regardé plus de 50 épisodes à la suite ! Sur ces images Naruto Shipuden, certains sont des captures d’écrans que j’ai amélioré et j’ai dessiné les autres avec Illustrator. Saurez-vous faire la différence ?
Le film le Seigneur des Anneaux a connu l’un des plus grands succès de l’histoire du cinéma et il est même entré parmi les films cultes du fantastique. Beaucoup ont dit que le héro de ce film mythique était Peter Jackson, le réalisateur tandis que d’autres disaient que c’était Gollum ou Frodon Sacquet. Pour ma part, j’estime que la seule personne qui mérite le titre de héro dans cette histoire et J.R.R Tolkien, l’auteur du livre du Seigneur des Anneaux. Ce dernier n’est pas juste une histoire du bien contre le mal, car il a redessiné le concept même du fantastique contemporain et qu’il a relégué les histoires de conte de fées dans l’ère préhistorique de la littérature. La complexité du Seigneur des Anneaux est gigantesque et aujourd’hui, encore, de nombreuses communautés de passionnées parlent et reparlent de cette formidable saga. Un autre personnage qui mérite d’être appelé Héro est sans doute Sam Gamegie, celui qui a accompagné Frodon Sacquet jusque dans les entrailles de la montagne du Destin.
A bien des égards, Sam Gamegie est l’archétype du personnage secondaire, mais qui a une importance capitale. Frodon Sacquet échoua aux pieds de la montagne du Destin et il a fallu la bravoure et l’abnégation totale de Sam Gamegie pour qu’il le porte sur son dos alors qu’il était épuisé par la fatigue, la faim et la soif.
L’acteur incarnant Sam Gamegie a parfaitement retranscrit l’image de J.R.R Tolkien, c’est à dire un bonhomme grassouillet qui n’est sans doute pas le plus malin, mais dont le courage compense un esprit simple. Selon de nombreux historiens, J.R.R Tolkien aurait crée le personnage de Sam Gamegie en s’inspirant de la classe paysanne de son époque. Un homme fier de sa terre, mais qui préfère vivre en paix, et pourtant, qui n’hésite pas à aller au combat pour protéger ce qu’il a de plus cher. La relation entre Frodon Sacquet et Sam Gamegie symbolise également l’amitié à l’état pur. Une chose rare dans notre époque actuelle. Ce type d’amitié résiste à l’épreuve de la distance et du temps et elle est plus intense qu’un lien fraternel.
On reconnait aussi le signe d’une abnégation totale dans les actes de Sam Gamegie. Lorsque Frodon Sacquet le rejette en faisant confiance à Gollum. Sam Gamegie ne se laisse pas abattre par ce jugement trop hâtif, car tout ce qu’il souhaite est d’aider son ami à vaincre ses épreuves. Une telle abnégation de soi n’existe que dans la littérature, diront certains, mais le fait est qu’elle a bien existée dans un monde où on faisait plus confiance aux autres. Aujourd’hui, l’intérêt matérialiste a pris le pas sur tout ce qui compte et on n’hésite pas à sacrifier les choses les plus précieuses pour l’appât du gain.
Sam Gamegie et tous les personnages du Seigneur des Anneaux symbolisent une époque révolue ou une utopie de J.R.R Tolkien qui a sans doute prédit les changements de son époque et il a voulu crée une œuvre immortelle où les sentiments humains priment avant tout le reste.
Sam Gamegie illustre également l’état d’esprit de certaines personnes qui voient toujours le bon coté des choses. Même dans les pires situations, ils arrivent à déceler ce qui est positif et s’en servent pour avancer vers un destin incertain. L’histoire montre également une évolution intéressante de Sam Gamegie où il est d’abord considéré comme un personnage débonnaire sans beaucoup d’impact, mais sa personnalité change selon les difficultés qu’il rencontre. Dans la version longue du Seigneur des anneaux, une scène censurée montre Sam Gamegie qui refuse de rendre l’anneau pendant quelques instants après que Frodon ait été attaqué par Arachnée dans le passage de Sirindon Gol.
Malgré le fait que Frodon et Sam Gamegie entretiennent une relation particulière, on sent que Frodon est plus distant, car sa position l’y oblige. Ce n’est pas qu’il considère Sam Gamegie comme un fardeau, mais plutôt qu’il veut le protéger, car il est le porteur de l’anneau.
A la toute fin, Sam Gamegie perd quasiment tout espoir lorsque Frodon cesse de l’écouter et met à l’anneau à son doigt. Sam Gamegie a aidé Frodon Sacquet de toutes les manières possibles, mais au final, c’est Gollum qui pèsera dans la balance et qui permettra à Frodon de reprendre ses esprits. Enfin, il reprend son esprit dans la rage qui l’anime lorsque Gollum s’empare de l’anneau.
Sam Gamegie démontre toute la complexité de l’histoire du Seigneur des Anneaux, car personne n’est du coté du bien ou du mal, mais ce qui compte est de prendre la bonne décision au moment opportun.
Qu’est-ce qui se serait passé si Sam Gamegie n’avait pas secouru Frodon contre Arachnée ?
Qu’est-ce qui se serait passé si Sam Gamegie n’avait pas hésiter à quasiment se noyer pour accompagner Frodon Sacquet ?
Le courage et le désintéressement total de Sam Gamegie l’ont propulsé comme l’un des principaux personnages de l’histoire et c’est pourquoi, de nombreuses personnes rêvent de devenir comme lui.
Il était une fois un Grand Patron qui avait des milliards d'entreprises. Il investissait dans chaque entreprise en espérant que les employés feraient le bon choix et permettrait à l'entreprise de dégager des bénéfices. Dans chaque entreprise, il y avait un président, plusieurs vice-présidents et des centaines de délégués. Ces délégués géraient des centaines d'employés qui pensaient que le Grand patron surveillait chaque aspect de leur vie. Ils seraient châtiés s'ils faisaient le mal et récompensés s'ils faisaient le bien. Mais le Grand Patron ne pouvait pas s'occuper de tout le monde et il passait uniquement quelques jours dans l'année. Mais le président et les vices-présidents criaient partout que le Grand Patron était omniprésent alors qu'en réalité, une petite entreprise ne signifiait rien pour celui-ci et qu'il pouvait la liquider quand il le voulait. Les dirigeants savaient que si les employés prenaient conscience que le Grand Patron n'avait rien à foutre de leurs tâches quotidiennes, ils perdraient leurs motivations et les présidents et les vice-présidents perdraient leurs acquis. Enfin de compte, l'entreprise était une énorme pyramide qui exploitait les plus faibles et une minorité s'engraissait en se basant sur des croyances qui étaient ancrées dans chaque maillon de la chaîne. Le slogan du président : " La connaissance est le mal, la foi est le bien ". Ainsi, les employés refusaient d'ouvrir les yeux et pensaient que toutes les choses étaient prévues dans leur destin. Mais que s'ils gardaient la foi, alors tout irait bien. Le Grand Patron avait établi des règles dans le fonctionnement de l'entreprise. Chaque personne dans l'entreprise était libre de faire ce qu'il voulait du moment que cela ne sorte pas du cadre de l'entreprise. Ces règles permettaient de garder un équilibre entre tous les éléments, mais évidemment, il y a toujours quelque chose qui coince.
L'un des vice-président avait beaucoup d'ambitions. Il voulait tellement s'enrichir qu'il voulait remplacer le Grand Patron. Il s'appelait Lucifer (Lulu pour les intimes). Alors il s'est mis à piquer dans la caisse, falsifiant les factures, détournant des fonds. Mais il ne s'arrêta pas là, car il s'est mis à convertir les autres employés en leur promettant qu'ils deviendraient tous riches et qu'ils seraient tous des Grands Patrons. C'est comme si un mec possédant un million de dollars pouvait battre celui qui possède 100 milliards de dollars. Mais son orgueil était sans limite. L'entreprise était dans une mauvaise passe, car les bénéfices n'allaient plus dans l'entreprise, mais dans la poche de Lulu. Le président s'en rendit compte, mais il ne pouvait pas faire grand chose, car Lulu était un proche et avouer qu'il avait mal tourné était la pire des choses à faire. Il allait devoir l'annoncer au Grand Patron qui fermerait définitivement l'entreprise. Il ne pensait pas que c'était la meilleure chose, car tous les employés auraient étés déplacés vers une nouvelle entreprise en écartant les mauvais éléments. Alors le président laissa empira les choses jusqu'à amener l'entreprise au bord de la faillite. On ne pouvait plus cacher les dégâts alors le président et les vice-président se réunirent et déclarèrent aux employés : " On est dans la merde, le Grand Patron nous a abandonné !, il faut jouer le tout pour le tout ! ". Evidemment, le Grand Patron était aux Bahamas à se faire dorer la pilule ignorant totalement qu'on l'accusait d'avoir détruit son entreprise. Cette dernière a complètement perdue les pédales, elle négligeaient les clients, faussait les factures et mentait sur les rapports mensuels au quartier général. Le président et les vice-président voulaient s'en mettre les poches autant que possible et se barrer à toutes jambes avant que le Grand Patron débarque avec ses potes. Mais parmi les employés, certains commencèrent à soupçonner des trucs louches. L'un d'entre eux, s'appelait Tephèpro, et il se douta que le Grand Patron n'était pour rien dans cette histoire et il le dit aux autres qui le prirent pour un fou. Ces derniers dirent : " Le Grand Patron nous a trahi, il faut suivre le président et les vice-présidents jusqu'à ce qu'on s'en sorte ". Alors Tephèpro décida d'écrire une lettre au Grand Patron pour lui dire ce qui s'est passé, mais les dirigeants interceptèrent la lettre. Il en écrivit d'autres jusqu'à l'une d'entre elles arrivent jusqu'au Grand Patron qui répondit simplement : " Ce n'est plus mon problème, si vous voulez sauver votre entreprise, alors débrouillez-vous et faites ce qu'il faut ". Tephèpro n'en crut pas ses oreilles, mais il se rendit compte que le Grand Patron avait raison et qu'ils étaient tous seuls.
Il commencer à dire ce qu'il pensait à certains employés qui le crurent et le suivirent. Ils étaient une minorité dans une immense entreprise qui était entièrement contrôlée par le président et les vice-présidents. Ils réfléchirent et la meilleure solution était de se battre pour reprendre le contrôle de l'entreprise et sauver ce qui pouvait l'être. Ils prirent les armes et de nombreux fidèles de Tephèpro furent tués. La bataille finale opposa Tephèpro et les vice-président et Lulu fut tué en promettant de revenir. Le président s'enfuit à toute jambes. L'entreprise retrouva des couleurs, mais un jour, le Grand Patron débarqua à l'improviste et annonça qu'il allait fermer l'entreprise et qu'ils partiraient tous vers une meilleure entreprise où les dirigeants prendraient soin d'eux et qu'ils n'auraient aucun soucis à se faire. Alors Tephèpro répondit : " Mais on a combattu jusqu'à la mort pour reprendre cette entreprise et cela n'a servi à rien ". Alors le Grand Patron répondit avec un sourire : " Si cela a servi à vous ouvrir les yeux qu'il ne faut jamais faire confiance à qui que soit même si c'est moi qui l'ai placé à votre tête et que la seule façon de prouver votre loyauté envers moi est de se remettre toujours en question. "
Tephèpro dit alors : " Est-ce que tu as fait la même chose ailleurs ? " et la réponse : " Evidemment, certaines entreprises s'en sont sorties et d'autres ont disparues et vous faites partie des premiers ".
Grand Patron : Dieu
Entreprise : Le monde
Président et vice président : Religions
Tephèpro : Des messagers et des hommes biens
Fermeture de l’entreprise : Fin du monde ou mort.
Tout le monde parle de pauvreté, mais personne ne peut la comprendre à moins qu'il ne la vive au jour le jour. Le fléau de la pauvreté n'est pas juste le manque d'argent, mais surtout le stress qui est permanent. Chaque jour, on se lève le matin, et tout de suite, la vague d'inquiétude vous submerge et vous pensez aux milles façons de vous en sortir. Les pensées les plus délirantes vous viennent à l'esprit en passant du miracle jusqu'à la catastrophe planétaire qui vous permettra d'échapper à votre funeste destin et à vos créanciers. On se demande comment vivre les autres ? Est-ce qu'ils ont les mêmes soucis ? Parce qu'ils semblent parfaitement heureux avec une famille et de l'argent à la pelle comme dans les séries TV.
Il est étrange qu'il existe une corrélation entre l'augmentation de la solitude dans le monde et celle de la pauvreté. Mais quand on y regarde de plus près, c'est tout à fait normal parce que la pauvreté est rejetée par tout le monde. C'est le nouveau type de racisme et de système de castes. En bref, si vous êtes pauvre (sans sens péjoratif), cela signifie que vous êtes flemmard et que vous n'avez rien réussi de votre vie. Le culte du veau d'or est systématique et une étude menée en Allemagne a démontrée que les gens accordaient plus d'importance à l'argent qu'à leur famille, leur religion ou leurs amis. Le principal fléau de la pauvreté est qu'on a tendance à s'écarter soi-même de la société, car on nous conditionne sur le fait que nous n'avons pas notre place. Ces moments de gêne quand on dit qu'on ne travaille et quand on voit les autres qui s'écartent doucement de vous comme un lépreux contagieux. La pauvreté n'est pas un état physique, mais un état d'esprit. Des personnes fauchées arrivent à s'en sortir parce qu'elles mentent systématiquement à tout le monde. A l'inverse, le riche peut être considéré comme une mauvaise personne s'il n'arrive pas à se lier correctement aux autres.
La pauvreté est aussi cette boule dans l'estomac en craignant un malheur qui nous tombera dessus et qu'on sait qu'on ne pourra rien y faire. Le système judiciaire, administratif et législatif adore broyer les pauvres, car il sait qu'il peut en faire ce qu'il veut sans craindre la moindre représailles. Il y a peu de reportages, d'articles et de témoignages de la pauvreté alors qu'il existe 5 milliards de personnes qui sont techniquement pauvres dans le monde. Ils sont comme des malades qu'on ne voudrait pas voir ou de la poussière qu'on cacherait sous le tapis en espérant que cela résoudrait le problème. Quand le pauvre hausse la voix en dénonçant les injustices du système, on le condamne comme un vulgaire criminel parce qu'il ne faut surtout pas que cette contestation contamine la masse obéissante qui pense que sa pauvreté est entièrement de sa faute. Le système des sociétés actuelles est totalement corrompu et une petite minorité profite du système et de ses dérives et elle a tout intérêt à bloquer le moindre mouvement de contestation.
Quand un pays est frappé par une crise grave, l'humeur tombe au plus bas. Les gens se divertissent par automatisme. On regarde la télé en espérant qu'elle nous abrutisse pour que notre esprit ne soit plus capable d'affronter les problèmes du quotidien. On hésite à sortir du lit et la moindre chose devient une tâche herculéenne. Si la pauvreté persiste, la dépression arrive derrière et évidemment les pulsions suicidaires. Ces dernières sont la conséquence que le pauvre n'a plus sa place dans la société et que personne ne viendra l'aider. De ce fait, il tombe dans une logique dévastatrice qui est qu'il doit en finir une bonne fois pour toutes. Mais le destin peut lui sourire pour quelques temps pour qu'il garde l'espoir et qu'il continue à faire profiter le système de son esclavagisme mental et physique.
La pauvreté nous entoure dans notre quotidien, mais nous refusons de la voir parce que nous la craignons plus que la mort. N'oubliez jamais que les pauvres ont une vie bonne ou mauvaise, mais que ce n'est pas à vous de les juger, qu'elle soit bonne ou mauvaise. Ils essayent de s'en sortir par leurs faibles moyens mis à leur disposition par leur destin. Et n'oubliez pas non plus qu'un jour peut-être, vous serez obligés de vivre la même chose et alors, vous regretterez votre jugement et votre intolérance à l'égard de la race la plus dominante sur Terre, celle des pauvres.
Harry était stupéfait, il entendait de fausses rumeurs à son sujet et une énorme fausse accusation le concernant. C'est tombé sur lui comme une pluie sur un désert sec depuis 1000 ans. Les regards, les expressions, les grimaces se succédaient de tout le monde comme un jugement sans avocat et dont le seul crime était de n'avoir pas prêté attention à la réalité abominable de ce monde. Les gens font toutes sortes de choses, mais ils jouissent littéralement en disant et en propageant le mal sur quelqu'un. Eve a colportée la première rumeur et Adam est tombé dans le panneau. Depuis ce jour, les hommes et les femmes adorent colporter des rumeurs, car la vérité est désespérément banale, pas de quoi faire des conversations de médisance et autres abomination de la nature humaine. La rumeur et la fausse accusation recèlent des secrets inavouées et la cible ne pourra jamais de défendre, car sa tentative d'explication retentira comme un aveu. La rumeur est indéfendable et elle plonge l'être humain dans une immense perplexité. Chaque nuit, des rumeurs se propagent dans le monde en empruntant des routes et des déviations, mais elles finissent toujours par atteindre sa cible. Le propre de la rumeur est de faire le maximum de mal tout en évitant d'être découvert. Les propagateurs des rumeurs sont des lâches qui méritent d'être maudit par leurs mères, une espèce de serpent qui répand son venin dans la nuit du mensonge et de la vicissitude humaine.
Harry est désemparé et il prit le parti de ne rien faire en prenant le risque d'entacher sa réputation, mais la vraie victime est le propagateur de la rumeur, car celle-ci revient toujours vers son propriétaire comme un boomerang empoisonné qui le détruit en le consumant dans une spirale de haine et de jalousie, mais il l'a bien mérité. L'homme de par sa nature à faire le mal est le meilleur ami de la rumeur, elle le pousse à faire les pires choses tout en estimant qu'il fait partie du troupeau. Ce sentiment d'appartenir à quelque chose est le principal objectif des semeurs de rumeurs. Ils sèment leurs graines empoisonnées pour espérer attirer des oiseaux de mauvais augures et autres animaux innommables. La vérité déteste la rumeur, ce sont deux ennemis mortels qui sont voués à une haine éternelle. La loi punit la fausse rumeur, mais la punition n'est pas suffisante, car notre société est remplie par la rumeur et les on-dit. Les médias s'enrichissent sur la rumeur, les politiciens se font élire sur des rumeurs, les policiers emprisonnent sur les rumeurs, les hommes séduisent sur la rumeur et les femmes trahissent sur la rumeur.
Dans ce contexte dominant, la vérité et le respect du prochain est une vaine démesure pour contrer l'impitoyable et l'effroyable rumeur. La rumeur utilise tous les artifices pour détruire les diseurs de vérité et les donneurs d'alertes. La rumeur possède les armes du mensonge, du dénigrement, de la bassesse en tout point alors que la vérité ne possède que la vérité. Un bouclier bien fragile comparé aux milliers de flèches de la rumeur. Alexandre Le Grand déclara qu'aucune arme ne pourrait le tuer sauf une rumeur qui prit la forme d'un poison qui lui dévora les entrailles.
Texte écrit avec l’écriture automatique
Les hommes pensent à la fin du monde comme une échappatoire à leur misérable vie, ils ne se rendent pas compte que la fin du monde signifie réellement la fin d'un monde, la fin d'une époque, une sorte de remise en question globale de notre société dans tous ses aspects. Les gouvernements sont corrompus, les corporations sont de véritables ruches qui exploitent les hommes et les femmes pour leur Dieu Argent. Une sorte de frénésie de capitalisme a pris ce monde pour créer un besoin permanent et dont ils ne peuvent s'échapper qu'avec la mort. Qui sont sommes nous et allons nous dans une explosion globale de la société même si les médias nous dépeignent la vie en rose. Un homme vit au jour le jour, il travaille toute la journée, il rentre chez lui épuisé et il regarde la télé qui diffuse des séries qui lui font croire en un ponde idéal. Un monde où tout le monde sourit avec une fin heureuse tout le temps avec la perspective d'un repos bien mérité. En buvant sa bière, l'homme songe à ce qu'il pourrait faire pour changer sa vie. Une seconde, il pense que tout est possible mais le poids de sa misérable vie lui tombe dessus comme une chape de plombs sur une limace. Le soleil ne taperait pas plus fort sur un peau blanche tellement il est écrasé par sa propre médiocrité. Sa femme le déteste, ses enfants le prennent pour un con et l'homme rumine ses sombres pensées en buvant toujours sa bière avec le sentiment qu'un gâchis inépuisable a été crée, mais il oublie que ce gâchis est systématique dans la vie de chaque homme sur terre.
Nous croyons que leurs vies sont meilleures, mais en réalité, ils se posent les mêmes questions sur leur condition d'esclave du système. Verrait-ils réellement la matrice au risque de se réveiller avec une réalité encore plus cruelle et dont le triste spectacle suffirait a faire pleurer un clown. Nous sommes des fourmis dans un gigantesque bourbier et la colonie est en train de s'enfoncer dans ce marécage de haine, de mal, de violence et de chacun pour soi. L'humanité présente en chacun de nous est morte pour ne laisser qu'un cadavre d'égoïsme avec un immense sentiment de solitude inachevée. Dans un tel moment de détresse, l'homme sage est frappé par la douloureuse réalité qu'il n'est qu'un pion au sein d'immenses mouvements qui le broieront pour leur profit personnel et dont la moindre tentative de protestation équivaudrait à une attaque système de toutes ses convictions et de ceux qui sont proches. On ne peut pas permettre à un mouton de comprendre que le tapis roulant de vie confortable de crédit et de confort le mène droit vers l'abattoir. Non on ne peut pas, car si on pouvait, on vivrait dans un monde idéal où les maris ne battrait jamais leurs femmes, ou des enfants de 13 ans ne feraient pas de cocktails avec des médicaments et ou les guerres se baseraient sur des fleurs et non sur des balles qui déchiquettent la chaire humaine en petit morceau.
Le gout de la violence de la société humaine a franchi un tel limite qu'on a inventé des caméras spéciales pour filmer les gouttes de sang qui giclent au ralenti. Les Live et autres événement toxicomediatique nous font vivre chaque minute du carnage et on a presque le sens de la cervelle dans la bouche. Mais qui arrêtera cette folie humaine qui consiste à ricaner au éclat de la mort des semblables. Mais qui peut tolérer de telles atrocités avec un sentiment d'abandon et de jouissance en même temps. Les désespérés espèrent des catastrophes pour donner un sens à leur misérable vie. Ils espère détourner l'attention un seul moment avec une tentative de se dire que tout va pour le mieux des mondes.
Dans un tourbillon de conscience, l'homme se réveille chaque matin en prenant soin d'effacer les cauchemars et les démons de la nuit. Les démons sont éphémères et sont là pour créer une sorte de frayeur qui nous pousse à l'orée des bois de notre esprit. Chaque sommeil est une découverte, une sorte de mise en avant de sa propre destinée. La fin d'un monde est proche pour chaque homme quand chaque respiration le rapproche de sa fin inéluctable, mais qu'est-ce qu'il a réussi. Qu'est ce que la réalité de sa vie. Qu'est ce qu'il fait ou n'a pas fait. Ce n'est qu'une série de questions sans réponse qui se succède a un rythme effréné.
C'est normal que ce texte n'ait pas beaucoup de sens, car c'est mon écriture automatique.
