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4/29/2012

Miss France Black 2012, la célébration du racisme

 

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D’abord, j’ai cru à une blague quand j’ai entendu parler du concours de Miss Black France 2012. Je me suis dit, les français sont racistes, mais pas au point de le célébrer d’une façon aussi dégueulasse. Mais je me trompais, non seulement, la photo de Miss France Black 2012 est dans tous les médias, mais tout le monde applaudit des deux mains. Aucun mot de SOS de Racisme et ce genre d’organisation à la con pour dire que la beauté n’est pas en fonction de la couleur de la peau, mais bien d’une impression globale sur une personne. Mais la discrimination positive oblige, il a fallu bien inventer cette Miss France Black 2012 pour prétendre que tout le monde a sa chance, car il est vrai qu’on n’a pas vu de femme de couleur dans Miss Blanche !

Quelle sera la suite ? Miss Juive, Miss Asiat, Miss Arabe ?

 

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4/16/2012

Me Collard attaque la place de l’Islam en France

 

Un certain Me Collard a publié une déclaration de haine et de racisme en octobre 2011. Voici un extrait de cette déclaration. Et dire que c’est un avocat ! Cette déclaration se partage sur les réseaux sociaux à cause de la campagne électorale française de 2012 et de la tentative de stigmatiser l’Islam. Cette déclaration fait suite aux attentats du 11 septembre, mais on peut dire que ce Maitre a un sacré balai dans le cul !

La source de l’article :

http://forum.ados.fr/actu/debats/maitre-collard-septembre-sujet_23714_1.htm

 

Je n’ai aucun sentiment à l’égard de l’islam. Je m’en fous radicalement. Tant qu’il reste dans ses terres.  
Mais chez moi, dans ma patrie, dans mon pays, je n’en veux pas. Un point c’est tout. Je suis islamo-négatif. Je nie le droit de l’islam à prospérer en France. Je nie que l’islam soit une religion.  
C’est un totalitarisme comme l’indique son nom qui signifie “soumission” et, comme tel, il est du droit de tout homme libre de s’y opposer de toutes ses forces et par tous les moyens “y compris légaux”.  
Je nie que l’islam ait rien de commun avec la civilisation européenne et encore moins avec la civilisation française. Il lui est en tous points étranger. Par son caractère, ses croyances, ses rites, ses observances, ses moeurs.  
Je nie que l’islam ait jamais rien apporté à la France. Aucun chef-d’oeuvre littéraire, musical, architectural, pictural ou sculptural.  
Rien. Pas un écrivain n’a publié “Le génie de l’islam”.  
Nulle mosquée ne s’élève comparable à Chartres. On attend encore un Francis Poulenc musulman. On chercherait en vain, et pour cause, un Real del Sarte islamiste.  
Je nie que l’islam appartienne au patrimoine de la France. Il n’a rien laissé, rien créé, rien fait pour la France. Aucune oeuvre d’art, on l’a vu.  
Aucune oeuvre de charité non plus.  
Pas un hôpital, pas un hospice, pas un orphelinat, pas une association caritative. Où sont les “petits frères des pauvres” qui appliqueraient en France ce “quatrième piller de l’islam” ( la Zakkat. En français : l’aumône que l’on traduit abusivement par la Charité) ?  
Où est l’imam dont la personnalité et l’oeuvre pourraient se comparer à celles de saint Vincent de Paul ? Quelle fatwa a jamais fait pour les pauvres, les malades, les vieillards ou les enfants de France le millième de ce que font depuis des siècles les religieuses hospitalières, soignantes ou enseignantes ?  
Je nie l’influence de l’islam sur notre histoire intime. Pas un dicton, pas une coutume, pas un mot, pas un geste, qui exprime, dans le comportement des Français, dans leurs références, dans leur imaginaire, dans leurs souvenirs, dans les chansons, les comptines, les fables de leur enfance, le moindre lien avec l’islam.  
Aucune oeuvre de progrès, enfin.  
On nous rebat les oreilles avec l’apport de l’islam en matière de mathématiques, de géométrie, d’algèbre, d’astronomie, de médecine, de philosophie. ils ont été les récepteurs de quelques-uns de ces savoirs et leurs vecteurs: il y a loin de là à l'invention qu'on veut leur imputer !!!!  
Mais c’est se foutre du monde !  
Où sont, dans l’histoire de l’intelligence française les savants, les penseurs, les philosophes musulmans.  
Où sont les Pasteur, les Curie, les Pascal islamistes ?  
Et que l’on ne prétende pas que cette absence s’expliquerait par le magistère de l’Eglise qui aurait fait obstacle à l’éclosion du génie créateur, scientifique, artistique de l’islam dans les bras de sa Fille aînée.  
Ou alors que l’on explique comment tant d’écrivains, de penseurs, de philosophes, de musiciens, de peintres, de sculpteurs juifs ont pu prospérer en dépit de cet obscurantisme.  
La vérité c’est que l’islam n’a rien à faire chez nous parce qu’il n’a jamais rien fait chez nous.  
La déclaration de Chirac selon qui « les racines de l’Europe (donc de la France ) sont aussi musulmane que chrétiennes » n’est donc pas seulement le propos d’un imbécile, c’est aussi celui d’un salaud.  
L’islam “à la française” est une double absurdité et un crime de haute trahison.  
Parce que l’esprit de soumission est à l’opposé même du génie français.  
Parce que la notion de patrie est contraire à l’Ouma, loi islamique qui nie la nation.  
Parce que les politiciens renégats qui oeuvrent à asservir la France au totalitarisme islamique et à l’invasion afro-maghrébine sont plus coupables que les dirigeants français qui, voilà soixante-trois ans, se résignèrent à la Collaboration.  
La différence entre les Collabos d’hier et les “Coallahbos” d’aujourd’hui, c’est que Chirac, lui, a ouvert les portes à l’invasion en signant la loi sur le regroupement familial (très grave erreur…).  
Chirac n’a cessé, après Mitterrand, de le répéter.  
Sous la botte allemande, la Police, la Justice et leurs auxiliaires n’ont pas montré autant de zèle à poursuivre les résistants que les flics, les chats fourrés et leurs “milices antiracistes” n’en mettent aujourd’hui à traquer, à provoquer, à punir les patriotes fiers de l’être et qui entendent le rester.  
Jamais la France n’a été aussi gravement malade. Infecté par le sida de la “coallahboration”, cette maladie auto-immune qui détruit toutes les défenses naturelles de la civilisation française, notre pays est devenu islamo-positif.  
Sa survie est désormais entre les seules mains des islamo-résistants. En avant !

Le seul conseil qu’on peut donner à ce maitre Collard est de s’envoyer en l’air. Trop de pression perturbe les neurones !!

 

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11/22/2011

Justin Bieber, le pur produit du capitalisme

Justin Bieber est sans l’un des plus grand symboles du capitalisme qui veut abêtir les masses au détriment de la créativité. Justin Bieber a crée un phénomène mondial et tout le monde pense que c’est grâce à son talent. Deux chercheurs de l’université de Stanford ont analysés sa musique et le fait que la mélodie a été conçue à partir d’un algorithme pour plaire à des personnes d’une certaine catégorie d’âge. Ce n’est qu’une mixture infecte de toutes les musiques qui plaisent aux plus jeunes ce qui explique son succès foudroyant malgré le fait que ses paroles possèdent l’intelligence d’un escargot.

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Depuis de nombreuses années, le capitalisme a détourné la musique pour conditionner les masses afin qu’elles puissent se défouler sur quelque chose. La musique permet de s’échapper et de ne pas penser à la réalité. Les majors et les labels de musiques tuent la créativité individuelle parce que des chansons activistes feraient prendre conscience du réalisme de notre société. C’est pourquoi, les chansons de rap sont considérées comme une incitation à la violence parce qu’elles racontent la vraie vie de la population.





Les majors ont compris qu’une musique abêtissante est le meilleur moyen de contrôle. Tout est fait pour que l’icône Justin Bieber continue à divertir les foules et la preuve que pas une seule fois, le chanteur ne s’est engagé dans une cause et il n’a pas non plus parlé des problèmes des jeunes tels que la drogue, le viol ou le chômage. Justin Bieber est une version ludique de Big Brother dans le mesure où il nous dépeint une fausse réalité où tout le monde voit la vie en rose.

Le suicide est-il un droit fondamental ?

Le suicide soulève de nombreuses questions, notamment est-ce que c’est un droit ou une interdiction ? FoxConn, l’entreprise qui emploie des chinois avec des conditions proches de l’esclavage leur fait signer un contrat leur interdisant de se suicider et même de poursuivre leur famille en justice si l’employé se suicide. Est-ce qu’une entreprise a le droit de vie et de mort sur son employé ? En gros, à qui appartient le droit de suicider ? A la société qui nous entoure ou à la personne proprement dit ?

Si vous voyez ou entendez une personne qui parle de se suicider, vous avez l’obligation de l’empêcher et d’avertir les autorités concernés. Quand un psychiatre entend un patient qui parle de suicide, il avertira un asile psychiatrique qui internera la personne.

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Le problème ici est que je pense que le suicide fait partie d’un droit fondamental puisque tout être a le droit de respirer, cela signifie que tout être a également le droit d’arrêter de le faire. C’est pourquoi, le problème de l’euthanasie parait insoluble, car le médecin abrègera les souffrances d’un patient qui est victime d’un acharnement thérapeutique. Si le patient demande à mourir, de nombreux médecins accepteront sa demande, mais ils refuseront catégoriquement si la personne n’est pas en danger ou qu’elle ne souffre pas. Et dans ce cas, on doit déterminer le type de souffrance, car ce serait réducteur de la limiter à la forme physique.

On dit souvent que le suicide n’est pas la solution et qu’elle est même l’apanage des lâches. Alors voyons l’exemple suivant :

Mr X est surendetté et il vient de perdre son emploi ce qui a fait fuir sa femme. Il n’a plus de quoi manger et il erre comme une âme en peine en sachant pertinemment que toutes les portes seront fermées, car notre société n’est pas du genre à s’apitoyer sur les faibles qui sont broyés par le système. Pour cet homme, le suicide n’est plus un droit, mais quasiment la seule porte de sortie !

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11/21/2011

Obéissance et sadisme, les mamelles de la nature humaine

 

 

Le sadisme et l’obéissance sont les deux principaux composants de la nature humaine et elles ont étés prouvées par l’expérience de Milgram qui concerne la soumission à l’obéissance et celle de Stanford qui concerne le comportement d’une personne dans une situation donnée.

L’expérience de Milgram

 

L’expérience de Milgram a été réalisé par le professeur Stanley Milgram pour étudier l’obéissance d’un individu à une autorité hiérarchique et le fait que les ordres donnés par cette autorité était en contradiction avec la morale du sujet. L’expérience mettait en scène 3 personnages :

  • L’élève
  • L’enseignant (le vrai sujet)
  • Le représentant de l’autorité

Au début, on disait à l’enseignant que l’expérience portait sur l’efficacité de la punition sur l’amélioration de la mémoire. En gros, si on punissait quelqu’un pour ses mauvaises réponses alors il s’efforcerait de donner les bonnes réponses. L’élève était attaché à une chaine électrique et l’enseignant était placé à quelques mètres séparé par une cloison. L’enseignant devait lire une liste de 30 mots avec des adjectifs correspondants. Par exemple, ciel=bleu, jour=frais, animal=féroce, etc. Par la suite, l’enseignant énonçait l’adjectif et l’élève devait dire le bon mot correspondant. A chaque mauvaise réponse, l’enseignant envoyait une décharge électrique de 15 volts et chaque nouvelle mauvaise réponse augmentaient les chocs électriques jusqu’à 450 volts.

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On doit préciser que les décharges électriques sont fictives et que l’élève n’est qu’un acteur qui simule la douleur. Au début, l’enseignant ne se pose pas la question et envoie la décharge. Mais à mesure qu’il entend les cris de douleur de l’élève, il commence à remettre en question la validité de l’ordre sans toutefois s’arrêter. Le principal objectif de l’expérience était de connaitre jusqu’à quel point, l’enseignant allait obéir à l’ordre et quelle serait la décharge maximal qu’il enverrait avant d’abandonner.

Les résultats parlent d’eux même puisque 65 % des sujets sont allés jusqu’à une décharge de 450 volts (en théorie, ce choc peut tuer la personne). Mais la moyenne s’arrêtait autour de 370 volts ce qui est déjà l’équivalent de la torture physique.

On obéit du moment qu’on n’est pas responsable

L’une des phases les plus intéressantes de l’expérience de Milgram est lorsque l’enseignant envoie une décharge de 300 volts. L’élève ne bouge plus et il ne répond plus. L’enseignant déclare que le sujet est peut-être mort, mais le représentant de l’autorité lui dit de continuer et qu’il prendra tout sur lui en cas de problèmes. Dans 85 % des cas, l’enseignant continue d’envoyer les décharges même s’il ignore si l’élève est encore en vie (A quoi sert d’électrocuter quelqu’un qui est mort ?).

L’expérience a démontrée qu’on est prêt à obéir à n’importe quel ordre du moment qu’on ne se sent pas responsable de ses actes. On pourra toujours dire : “ Mais je ne faisais que suivre les instructions “. Par la suite, on arrête l’expérience et on explique tout à l’enseignant en lui demandant de donner les raisons de son comportement. Dans le cas de la décharge supérieure à 300 volts tout en ignorant si la personne est vie ou non, 74 % des sujets ont répondus : “ Cela n’a aucune importance si le sujet est en vie ou non, on m’a demandé d’exécuter l’ordre et c’est tout. Est que le pilote d’un avion de combat se pose des questions sur la légitimité de sa mission lorsqu’il largue une bombe dans une ville remplie d’innocents ?”.

Le respect de l’autorité est la clé d’une obéissance aveugle

Le sujet enverra toujours des décharges du moment qu’il est surveillé par l’autorité. On a répété l’expérience dans laquelle le représentant était absent et on a noté que l’enseignant refusait d’envoyer des décharges à partir de 80 volts. L’agent qui exécute l’ordre doit sentir la surveillance de l’autorité sinon il ne sera pas efficace. De même, le respect de l’autorité est essentiel, car on payait le sujet environ 4 dollars pour une heure d’expérience ce qui est une somme insignifiante. On a demandé à un sujet s’il tenterait l’expérience avec un particulier qui serait l’autorité, mais qui payerai environ 1000 dollars.  98 % des personnes ont répondus par la négative. L’une des meilleures réponses est sans doute : “ L’argent n’a aucune importance, mais j’exécuterais toujours l’ordre d’une autorité que je respecte.” En gros, on peut tout faire si on estime que la cause est juste.

Cette expérience est célèbre puisqu’il donne des éléments de réponses pour expliquer les grands génocides de l’histoire. Comment peut-on massacrer des millions de personnes sous de faux prétextes ? Là encore, le respect de l’autorité et la légitimité de la cause sont des facteurs essentiels. Mais il faut également compartimenter les différents rôles pour que cela soit efficace. Une première personne sera chargé des arrestations, une seconde sera chargée du transport, une troisième va la garder dans une prison et enfin la dernière va peut-être la mettre dans une chambre à gaz. Le fait est que le dernier élément est la personne la plus cruelle et elle a été choisie en ce sens, mais les autres ne connaissent rien de l’objectif final. Est-ce que vous allez arrêter quelqu’un qui a conduit un simple train ?

Malgré que l’expérience de Milgram date de plusieurs décennies, sa validité n’a jamais été infirmée et l’un des meilleurs exemples est la folie islamophobe après les attentats du 11 septembre. L’autorité (le gouvernement américain) a utilisée une propagande (Arme de destruction massive) pour imposer une guerre en Irak qui lui assurerait sa survie dans le domaine énergétique. La peur provoquée par le terrorisme a servi pour valider les actes les plus barbares et tout le monde n’a rien dit et ils ont même hochés la tête. L’absurdité de l’obéissance aveugle est que le 11 septembre a fait 4500 victimes tandis qu’il y a eu environ 2,2 millions dans la guerre d’Irak et d’Afghanistan et on précise que toutes les victimes sont des civils. Dans un pays démocratique qui prône la tolérance et la liberté d’expression, de simples individus peuvent devenir des instruments de mort et de torture du moment qu’ils respectent les donneurs d’ordre. Stanley Milgram a publié un livre sur son expérience et il finit par cette citation :

la civilisation est caractérisée, avant tout, par la volonté de ne pas faire souffrir gratuitement nos semblables. Selon les termes de cette définition, ceux d'entre nous qui se soumettent aveuglément aux exigences de l'autorité ne peuvent prétendre au statut d'hommes civilisés. »

La duperie nécessaire pour une parfaite obéissance

Parmi les critiques sur l’expérience de Milgram, les principales concernent les duperies qui ont étés utilisées pour contraindre le sujet à accepter son rôle. Ainsi, on ne lui a pas dit que les décharges étaient factices et que l’élève était un acteur. Le tirage au sort était truqué puisque le sujet obtenait toujours le rôle du maitre. Enfin, le représentant de l’autorité était également dans la connivence. Cependant, le pourcentage de l’obéissance baisse si on introduit des variables telles que si l’enseignant pouvait voir l’élève ou que ce dernier était une femme. L’une des variables les plus remarquables est lorsqu’un second représentant de l’autorité entrait dans la pièce pour remettre en question le premier représentant. Dans ce cas, 92 % des sujets abandonnaient l’expérience, car il n’avait plus confiance sur la pertinence de l’autorité puisqu’il y avait des divergences.

L’expérience de Stanford

L’expérience de Stanford a été réalisée par le professeur Philip Zimbardo sur le comportement de l’individu s’il était confronté dans une situation dans lequel où il devait jouer un rôle. L’étude lui avait été commandée par le gouvernement américain pour comprendre les problèmes de la vie carcérale de l’époque. L’expérience mettait en scène deux groupes, les prisonniers et les gardiens. Chaque groupe était choisi au hasard et on s’assurait que chaque personne était dans de bonnes conditions physiques et psychologiques.

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Au début, on disait aux gardiens de faire tout ce qu’ils voulaient aux prisonniers sauf des violences physiques. Mais on ne disait rien aux prisonniers. Ces derniers étaient arrêtés par la police (qui était dans le coup) et les prisonniers passaient toutes les étapes d’une vraie arrestation (menotte, fouille corporelle, fichage, etc.) On leur bandait les yeux jusqu’à leur cellule. ils étaient enchainés au pieds et ils avait des numéros au lieu de leurs vrais noms. L’expérience devait durer 15 jours, mais elle a été abandonnée au bout de 6 jours, car tout le monde a perdu les pédales.

Dès les premières 24 heures, les gardiens et les prisonniers avaient parfaitement endossés leurs rôles. Les prisonniers tentèrent de se révolter ce qui força les gardiens à leur faire subir différents sévices. ils séparèrent les prisonniers en deux groupes en affirmant que certains étaient bien traités, car ils informaient les gardiens des agissements de certains prisonniers. Mais les gardiens sont sortis de leurs rôles, car ils étaient de plus en plus sadiques envers les prisonniers. Les humiliations verbales et  les harcèlements sexuels étaient systématiques. Certains prisonniers étaient obligés de nettoyer leurs excréments avec leurs mains.

John Wayne et le prisonnier 416, les leaders du groupe

Dans chaque groupe, on assista à l’émergence d’un leader qui imposa sa volonté aux autres membres. Pour les gardes, il y a eu quelqu’un qu’on a surnommé John Wayne, car c’était le plus sadique et le plus impitoyable. Le prisonnier avec le numéro 418 lança une grève de la faim comme une forme ultime de rébellion. Mais le plus intéressant est que les autres prisonniers refusèrent de le suivre tandis que les gardiens avaient acceptés John Wayne.

Un autre aspect est que même Philip Zimbardo a perdu le contrôle de l’expérience puisqu’il jouait le rôle du superviseur de la prison. Il a fallu l’intervention d’une  personne totalement étrangère à l’expérience pour que les différents protagonistes se rendent compte que c’était allé trop loin.

Nous sommes tous des sadiques en puissance

Le postulat de cette expérience est que tout le monde peut devenir un vrai sadique si on lui en donne la possibilité. La capacité de faire le mal fait partie intégrante de la nature humaine, notamment si la personne ne se sent pas responsable de ses actes. Les gardiens estimaient qu’ils avaient tous les droits puisqu’ils étaient les représentants du système. La similarité avec l’expérience de Milgram est flagrante puisque tout se base sur le respect d’une autorité supérieure.

On s’est souvenu immédiatement de l’expérience de Stanford lors du scandale de la prison d’Abu Graib en Irak. La plupart ont critiqué la manière dont le gouvernement avait géré l’affaire puisque seuls les instruments ont étés reconnus coupables alors que l’expérience de Stanford montre que c’est la hiérarchie qui convainc une personne de devenir un sadique.

Cette expérience montre également qu’il faut se méfier des donneurs de leçons et de ceux qui émettent des jugements sur les autres, car on risquerait de faire la même chose si on était à la place du gardien. Le sujet est toujours le vrai coupable, car il pense que l’obéissance aveugle est un gage de bonne foi pour vivre dans la société. On n’hésite pas à commettre les pires actes du moment qu’on est bien considéré par nos semblables.

11/18/2011

Les photos chocs des fameuses pub Benetton 2011

 

Voici les 4 photos chocs les plus populaires de la pub Benetton 2011.

 

Le Pape embrasse un imam

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Barack Obama qui embrasse le président chinois Hu Jintao

 

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Nicolas Sarkozy qui embrasse Merkel

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Enfin, un tibétain et un chinois qui se saluent respectueusement.

 

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Toutes ces photos sont polémiques, mais n’est-ce pas l’objet de cette campagne publicitaire ? Les sites musulmans crient déjà au scandale et on peut raisonnablement penser qu’ils n’ont pas une once de maturité intellectuelle. C’est juste une photo bordel ! Pas de quoi hurler des salamecs dans tous les sens ! Si vous voulez vraiment critiquer quelque chose, allez plutôt vous battre pour les employés de Benetton en Chine qui travaillent dans des conditions proches de l’esclavage !!