On voit en effet la ruine, fille des audaces interdites, frapper ceux qui respirent un orgueil démesuré.
Qui prend est pris, qui tue paye sa dette. La loi restera tant que Zeus restera sur le trône.
On a tout à gagner, quand on est sage, à ne point le paraître.
Zeus (...) a ouvert la voie de la sagesse aux mortels, en établissant la loi que la science serait le prix de la douleur.
Le succès, voilà ce que les mortels regardent comme un dieu, plus qu’un dieu.
Il est aisé à qui n’a pas le pied en pleine misère de conseiller, de tancer le malheureux.
Il est bon d’apprendre à être sage à l’école de la douleur.
La discipline est mère de succès.
La mort est plus douce que la tyrannie.
La violence a coutume d’engendrer la violence.
Les malheurs humains ont des teintes multiples : jamais ne se retrouve même nuance de douleur.
Mourir glorieusement est un bienfait des dieux.
On fait le délicat dans les jours de bonheur.
On ne lutte pas contre la force du destin.
Quand un mortel s’emploie à sa perte, les dieux viennent l’y aider.