C’est une langue bien difficile que le français. A peine écrit-on depuis quarante-cinq ans qu’on commence à s’en apercevoir.
Le difficile, ce n’est pas de donner, c’est de ne pas tout donner.
Quand on est aimé, on ne doute de rien. Quand on aime, on doute de tout.
Une femme qui reste une femme, c’est un être complet.
Enfants ! Quand il s’agit de vous nous ne pouvons qu’errer indécis et procéder par tâtonnement...
Il est sage de verser, sur le rouage de l’amitié, l’huile de la politesse délicate.
Surtout, j’ai la douleur, cette douleur toujours jeune, active, inspiratrice d’étonnement, de colère, de rythme, de défi... Heureusement, j’ai la douleur.
Mais est-ce très grave, souffrir ? Je viens à en douter. Souffrir, c’est peut-être un enfantillage, une manière d’occupation sans dignité...